Originaire du nord de la France, Maxence Doussot entame son cheminement artistique dès l'adolescence devant un poster de Mickaël Jordan.
Très vite, Il s’intéresse à la musique et tombe sous le charme de la batterie en regardant le Paris-Dakar avec son père.
Il aime aussi le sport.
Il admire le jeu de jambes de Kurt Cobain, adore la frappe de balle de Jean-Michel Jarre et jubile l'année où Steevie Wonder remporte son premier Roland-Garros.
En 1998 et le bac en poche, Il intègre l'Institut des arts rythmiques de Paris, une manière de se perfectionner et de côtoyer de véritables athlètes de haut niveau.
En parallèle, il écume la quasi totalité des dancefloors belges en accompagnant aux percussions son frère disc jockey.
Il y apprend l'endurance et la régularité, y développe un toucher à la Mike Tyson et devient petit à petit une véritable machine à faire danser les gens.
Les saisons passent, Il s'applique à l'entraînement, commence à gagner des matchs et devient musicien professionnel en 2004.
Il soulève dès 2007 la coupe de la ligue avec Les Mauvaises Langues, son club formateur. Il traverse ensuite l'Atlantique à la nage avec Delbi, participe au tour de France
avec Tony Melvil et augmente encore sa prescription d’adrénaline grâce aux soigneurs belges d'Hong Kong Dong.
Avec aujourd'hui plus de 400 matchs officiels au compteur, plusieurs tournées à l'étranger (Europe, Brésil, Chine) et une dizaine d'albums studio, il rêve de réunir ses deux passions dans une même création et répète à qui veut l'entendre que le sport aussi adoucit les mœurs.