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Sur les cendres en avant...Comédie musicale

Comédie Musicale
Une comédie enlevée, une tragédie loufoque, chantée de bout en bout, avec des personnages à l’énergie formidable 

Tout part en vrille et en cendres par ici. Finances calamiteuses, états d’âme au plus bas et appartement calciné. Macha se prostitue pour subvenir aux besoins de sa petite soeur Nina. Leur voisine mademoiselle Rose a mis le feu à son deux-pièces. Les murs tombés, les trois femmes sont condamnées à vivre ensemble, quand une quatrième surgit, enragée. C’est la femme offensée du forain, venue régler son compte à la prostituée qui l’a éloignée de son mari. Les quatre femmes s’affrontent, puis décident de s’en sortir, ensemble et grandies, par le haut. Mais surtout en chantant, quoi qu’il arrive.

Pierre Notte et sa compagnie Les gens qui tombent raffolent des chansons. Il y en avait partout déjà dans J’existe (foutez-moi la paix) ; Sortir de sa mère ; La Chair des tristes culs ; Perdues dans Stockholm et C’est Noël tant pis, au Rond-Point. Idem dans Moi aussi je suis Catherine Deneuve. Il poursuit, s’acharne, rend encore leur grâce à Michel Legrand et Jacques Demy. Il met en musique l’intégralité de ce dialogue pour quatre femmes en crise qui se débattent dans un désastre enchanté, tout en tangos, valses, blues et bleuettes. Jazzman de génie, Paul- Marie Barbier arrange les mélodies, les accompagne au piano et en direct, tandis que les quatre comédiennes dansent. Sur les cendres en avant est une comédie enlevée, une tragédie loufoque, chantée de bout en bout.

Pierre Notte

Ce spectacle sera également joué pendant le Festival de Figeac

Distribution
  • Texte, musique, et mise en scène : Pierre Note
  • Piano : Donia Berriri
  • avec Juliette Coulon, Blanche Leleu, Chloé Olivères, Elza Rosenknop
  • Assistante Mise en scène : Claire Fretel
  • Costumes : Colombe Lauriot Prévost
  • Lumières : Antonio de Carvalho
  • arrangements : Paul-marie Barbier
  • sons : Olivier Bergeret

Presse

« Dans l'humour de Notte, il y a de la noirceur. Dans cette noirceur, il y a une formidable envie de vivre et de renverser les murs. C’est un spectacle empli de bienveillance et fait pour réjouir. On se sent curieusement léger, rien de plus contagieux que la légèreté, rien de plus rare sur les planches ». Jean-Luc Porquet, Le canard enchaîné

Représentations

Théâtre de l'Usine de Saint-Céré
  • vendredi 04 août 2017 21h00
Tarifs

pleinréduitjeune-18ans
série unique19166

Abonnement nominatif : Tarif réduit pour l’achat d’une place pour 4 spectacles
Tarif réduit : Demandeur d’emploi, groupe à partir de 10 personnes
Tarif jeune : Moins de 18 ans, étudiant de moins de 25 ans

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